Oui, on a osé mettre William dans les monstres 😀
Pas de panique, dans ce nouveau numéro de LiVEI, on revient sur les 3 épisodes de samedi (Ghouli, Kitten et Familiar) et on parle des monstres mémorables. Si Mr Chuckleteeth (devenu Mr Rigolo en VF) semble avoir perturbé les spectateurs, la diffusion du Retour de Tooms juste après a fait rejaillir de sacrés peurs.
Alors oui, c’était la Nuit des Serial Killers mais on revient sur les monstres (qui était samedi dernier, bonjour notre logique)
Punaise Tooms me fera toujours autant flipper 😱😱😱😱 #XFiles #nuitdesserialkillers
— OG Audrey📌 #renewSWAT 🥦Strising out 24/7🩰⚽🎗️ (@dtvr12) April 14, 2018
L'affaire Tooms. 26 ans plus tard, cet épisode me fait toujours autant flipper ! 😱 #XFiles
— Waimea (@Waenoni) April 14, 2018
https://twitter.com/JohannPaquelier/status/985282324827922432
LeMartien et little.alien reviennent pendant presque 1 heure sur les épisodes de samedi et les monstres (on parle de Flukeman, des Peacock, d’insectes…). Le site du podcast est ici.
C’est toujours super synpa ces analyses. Et surtout merci pour la qualité de vos échanges.
Votre digression sur les décors est très à propos. Je pense que malgré les subterfuges des décors, il y a des lumières que seule la nature peut rendre. Et malgré la technique, ce qui était palpable à Vancouver ne l’était plus à LA. Là où ils ont bien su « cacher » le problème, c’est de faire le scènes extérieures mais de nuit. Exemple là tout se suite avec SR819, ou encore dans Pauvre diable, la scène où il brule le bébé avec les feuilles mortes… Mais quand les scènes sont de jour, alors là c’est vraiment difficile, même dans Rain King, on voit trop la pluie artificielle, et le soleil qui revient aussi sec. La végétation est souvent pelée, aride, loin de celle de Vancouver humide et verte… Mais je trouve en même temps que cela les a forcer à magnifiquement exploiter leurs épisodes. Ce qui aurait pu être un obstacle ne l’a pas été. Mais cela nous montre bien que les effets et décors de plateau ont leurs limites. Mais voyez par exemple la scène pré-générique de En ami, ce devait être un jour de mauvais temps, pour on se croirait vraiment à Vancouver. Après moins parce que la végétation rappelle trop le climat semi-aride de LA.