L’Huile Noire – Deuxième partie

Première Partie – SECONDE PARTIE – Troisieme Partie – Quatrième Partie

II – L’HUILE NOIRE & LE MYSTERE DU VISAGE MARTIEN …

« No, it’s nothing more than a trick of light and shadows, a geologic anomaly. I’m afraid the only sculptors at work are the solar winds that blow across the surface of Mars at 300 miles an hour ten months a year. »
Dixit Lt. Col. Marcus Aureluis Belt (Viking Orbiter Project Director) – Épisode 1X08 : Space

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Préambule.

LA PHOTOGRAPHIE DU SITE DE CYDONIA MENSAE SUR MARS prise par l’orbiteur Viking 1 le 25 juillet 1976. les initiés seront de quoi je parle… En effet, ce cliché photographique après analyse demeure sans doute l’un des meilleurs arguments en faveur de la thèse d’une forme de vie extraterrestre intelligente…

On ne peut pas en dire autant des milliers de photos d’O.V.N.I., du témoignage de dizaines d’abductés ou de la fameuse autopsie de l’extraterrestre de Roswell qui ont toujours été la source de vastes polémiques… Sans doute aussi de part la crédibilité plus que bancale des personnes qui ont révélé ces
« preuves » !
25 juillet 1976… L’incroyable découverte !

Le 25 juillet 1976, au cours de sa 35ème orbite, l’orbiteur Viking 1 survole vers 41° de latitude nord la fine bande de terrain qui sépare les hauts plateaux cratérisés de l’hémisphère sud, des terrains bas et lisses de l’hémisphère nord. Dans ce secteur, connu sous le nom de Cydonia Mensae, la surface est disloquée en un grand nombre de collines, de buttes et de plateaux.

Parmi les centaines d’images recueillies, l’une d’elles (le cliché 35 A 72, d’une résolution de 47 mètres/pixel) attire assez vite l’attention : on peut y voir une butte qui ressemble étrangement à un visage humain. Le scientifique Tobias Owen, alors membre de l’équipe chargée du traitement des images, se serait écrié « Oh mon dieu, regardez-moi ça ! » en découvrant le visage sur la photographie de l’orbiteur Viking 1. L’image est suffisamment intéressante pour que le Jet Propulsion Laboratory (JPL) la rende publique au cours d’une conférence de presse.

Pour les scientifiques, il ne s’agit que d’un caprice de la nature, une colline ayant pris une apparence humaine sous un jeu d’ombre et de lumière (le cliché a été pris aux alentours de 18h00 heure locale : le soleil était alors à 10° au-dessus de l’horizon et les ombres étaient déjà très allongées). L’image est présentée comme un exemple des formes familières auxquelles les planétologues sont parfois confrontés lorsqu’ils examinent les clichés de la surface des planètes du système solaire. Le visage a valeur d’anecdote et pour les scientifiques qui commentent l’image, il est impensable d’y voir autre chose qu’une amusante illusion d’optique.


Le visage de Mars – Région de Cydonia Mensae
Coordonnées : 41° de latitude nord et 12,8° de longitude ouest
Dimensions : 2,5 Km de long, 1,5 Km de large, 400 m de hauteur
Cliché 35 A 72 pris le 25 juillet 1976 par l’orbiteur sonde Viking 1
Photographie / NASA/JPL

Un événement troublant et regrettable, qui va jouer par la suite en défaveur de la NASA, va avoir lieu au cours de cette conférence. Selon une rumeur persistante, Gerry Soffen (le directeur de projet sur la mission Viking) aurait confirmé la nature illusoire du visage en évoquant un deuxième cliché pris quelques heures plus tard, et sur lequel la formation humanoïde aurait tout bonnement disparu. Des propos déplorés par le Dr Carl Sagan lui-même…

Or, il se trouve que ce fameux cliché n’existe pas, et pour une bonne raison : quelques heures après l’acquisition de la première photographie (prise, comme nous l’avons vu, à 6 heures du soir), le secteur de Cydonia était plongé dans la nuit ! Intentionnelle ou non, cette maladresse va apporter de l’eau au moulin des paranoïaques qui accuseront plus tard la NASA de dissimulation.


Dr Carl Sagan – Fondateur et 1er Président de « The Planetary Society »
Responsable de la formation des astronautes sur les missions « Appolo »
Consultant à la NASA depuis sa création dans les années 1950
Photographie / Épisode 4X24 : Gethsemane
Symposium de la NASA / Université de Boston le 20 novembre 1972

Avec l’explication de la NASA, le visage de Mars va tomber dans l’oubli, un simple jeu d’ombre et de lumière ne pouvant rivaliser avec les données que les orbiteurs et les atterrisseurs Viking transmettent chaque jour aux scientifiques émerveillés. Il faudra attendre trois ans avant qu’il ne soit redécouvert par hasard.
La recherche privée…

Vincent DiPietro, un ingénieur électricien, fait connaissance pour la première fois avec le visage dans un magazine « d’archéologie extraterrestre ». A ce moment, il n’y prête guère d’attention. C’est seulement deux années et demi plus tard, alors qu’il fouille dans les archives photographiques du centre Goddard de la NASA dans le Maryland, que sa curiosité s’éveille. A nouveau confronté avec ce visage parfaitement dessiné, DiPietro trouve que l’explication officielle des scientifiques est finalement aussi décevante que peu convaincante. Un ami et collègue de DiPietro, Gregory Molenaar, est lui aussi frappé par le visage, à tel point qu’il propose à DiPietro de se livrer à une recherche privée.

Pour cela, les deux compères soumettent le fameux cliché 35 A 72 à différentes techniques de traitement d’image, dans le but de nettoyer la photographie et d’en extraire le maximum d’information. Devant le manque de résultats obtenus avec les techniques standards, ils conçoivent un programme informatique spécialement adapté à leur investigation, SPIT (Starburst Pixel Interleaving Technique). Sous l’écran de l’ordinateur, tandis que les ombres s’effacent et que de nouveaux contours se dessinent, le visage devient de plus en plus symétrique, et de moins en moins naturel.

Tout en étudiant le visage, DiPietro et Molenaar décident également de jeter un œil sur les terrains alentours, au cas ou d’autres structures du même type feraient leur apparition. Inconsciemment sans doute, ils savent ce qu’ils veulent trouver et ils n’ont pas à chercher bien longtemps. Ils sont rapidement récompensés par la découverte au sud-ouest du visage d’une pyramide à cinq faces sur l’image 70 A 13 (43 mètres/pixel), prise 35 jours après le premier cliché du visage. La formation est baptisée très modestement « D & M Pyramid ».


Région de Cydonia Mensae – Vue d’ensemble
Cliché 70 A 13 pris le 25 juillet 1976 par l’orbiteur sonde Viking 1
Photographie / NASA/JPL

En 1981, pour répondre à l’indifférence de la NASA, DiPietro et Molenaar publient leurs investigations à compte d’auteur dans un ouvrage intitulé « Unusual Mars Surface Features » (éléments insolites à la surface de Mars). Un exemplaire tombe bientôt dans les mains de Richard Hoagland, un chroniqueur qui avait justement assisté à la conférence de presse de la NASA (il couvrait alors la mission Viking pour le compte du magazine American Way). Hoagland va se charger de populariser les travaux de DiPietro et Molenaar, tout en apportant sa pierre à l’édifice. Le mythe du visage peut commencer…
De nouvelles découvertes !

Au fur et à mesure de l’examen de nouvelles images, la fine équipe découvre bientôt d’autres structures étonnantes qui, selon eux, ne peuvent pas s’expliquer géologiquement. A l’ouest du visage, ils mettent à jour une véritable ville, constituée de plusieurs édifices géométriques qui entourent une place centrale, sur laquelle sont érigés quatre petits monuments. L’ensemble est rapidement baptisé la Cité (the City) et la place centrale l’esplanade (the City Square). A proximité de cette ville, une autre structure semble ceinturée par une épaisse muraille. A cause de son aspect, cette structure reçoit naturellement le nom de forteresse (the Fort). A l’est du visage s’étend aussi une étrange falaise isolée de 3 kilomètres de longueur (the Cliff). Un peu plus loin, une pyramide à trois côtés flanque tel un mirador la muraille d’un cratère d’impact. En portant le regard au sud de la falaise, les enquêteurs tombent sur une colline aux formes arrondies, le Dôme (the Tholus). Un coup d’œil plus approfondi révèle bientôt une sorte de rampe qui spirale tout autour de l’édifice pour conduire à son sommet.

Après l’interprétation photographique, l’équipe s’attelle à la dissection mathématique des anomalies de Cydonia. En mesurant tous les angles possibles entre les différents bâtiments, ils mettent à jour des constantes mathématiques universelles, comme le chiffre « pi » (3,14), la constante de Neper ou exponentielle « e » (2,72) et des racines carrées remarquables (√2, √3 et √5).


Des mesures d’angles très complexes réalisées à partir des divers clichés de la région de Cydonia Mensae
Résultats :
On a ainsi retrouvé des constantes mathématiques universelles (comme le chiffre pi)
ou des valeurs qui semblent omniprésentes au sein du complexe (comme l’angle 19,5°)
Photographie / NASA/JPL

Les chercheurs indépendants semblent véritablement obsédés par cette valeur d’angle. Selon eux, il s’agirait non pas d’une valeur quelconque, mais d’un angle très important dans la théorie mathématique énergético-synergique, qui prend pour unité de base le tétraèdre (une pyramide à quatre côtés dont chaque face est constituée par un triangle équilatéral). Lorsqu’un tel triangle est placé dans un cercle qui le circonscrit totalement (l’un des sommets touchant alors le pôle nord ou le pôle sud), les trois sommets se trouvent à la latitude de 19,5° (nord ou sud, selon le cas). Cette observation biscornue est apparemment d’une importance majeure pour la recherche d’anomalies extraterrestres sur les autres planètes, et les chercheurs indépendants vont frénétiquement chercher le motif du tétraèdre ou l’angle de 19,5° dans les structures de Cydonia. En effectuant d’autres corrélations mathématiques, ils découvriront aussi une représentation du système solaire cachée dans les alignements des artefacts.

Devant un tel faisceau de preuves, il n’est plus possible de nier l’évidence. L’érosion éolienne ou fluviale ne saurait rendre compte des reliefs à la beauté architecturale de Cydonia. Aucun événement géologique ne peut placer des structures avec une telle précision mathématique. Là bas, nul mécanisme naturel n’a été à l’œuvre. Bâtis par une ancienne civilisation aujourd’hui disparue, les édifices de Cydonia sont tout simplement artificiels !
La « Connexion Terrestre ».

David Percy, chercheur et directeur européen des opérations pour la mission Mars, co-auteur de l’ouvrage « Deux Tiers » présentant l’hypothèse qu’une forme de vie intelligente a conçue et élaboré une construction sur la planète Mars, a donné une conférence sur ce sujet en septembre 1996 à l’université de Bradfor, en Angleterre. Cette conférence mettait en évidence le lien entre le site de Cydonia sur Mars, les sites d’Avebury, Glastonbury et Stonehenge en Angleterre, et la forme caractéristique de certains crop-circles…. C’est lorsqu’on a découvert, en 1991, le crop-circle au pied de la Colline de Silbury, dans le Wiltshire, qu’un chercheur s’est souvenu d’une photo aérienne sur laquelle on voit le « Avebury Circle »…


Avebury Circle – Le grand site mégalithique circulaire
L’équivalent terrestre du cratère de Cydonia Mensae
Photographie / Dossiers Marshall Cavendish



Silbury Hill – La grande colline de Silbury
L’équivalent terrestre du Dôme de Cydonia Mensae
Photographie / Dossiers Marshall Cavendish

Ces deux sites lui ont rappelé le cratère et la butte sur Mars. Une équipe de chercheurs a donc fait des recherches et ont pu découvrir qu’en utilisant une carte de la région à grande échelle et en la superposant soigneusement sur un cliché de la partie « butte et cratère » de Cydonia Mensae, réduit dans la proportion de 14/1 (14 miles sur Cydonia équivalent à 1 miles à Avebury), tout correspondait parfaitement. Les sites Avebury et Silbury se positionnant exactement sur le cratère et le dôme de Cydonia. David Percy a même découvert qu’en superposant le dessin du crop-circle de Silbury, ces trois éléments n’étaient qu’une seule et même représentation géographique et topographique, transmettant les mêmes informations.


Superposition des cartes de la région de Cydonia Mensae et Avebury
Représentation du crop-circle apparu en 1991 au pied de Silbury Hill
Résultats :
Les extrémités du crop-circle correspondent exactement aux monuments terrestres et martiens !
Photographie / Dossiers Marshall Cavendish

Les deux « points blancs »…

Sur les clichés du cratère martien transmis par l’orbiteur Viking 1, deux mystérieux points blancs sont visibles en son centre. En superposant le plan du cercle mégalithique d’Avebury sur celui du cratère de Cydonia, les chercheurs se sont rendu compte que les deux points blancs marquant le centre du cratère de Cydonia correspondaient exactement avec les deux anneaux de pierres marquant le centre du cercle d’Avebury. David Percy est persuadé que les deux anneaux du cercle d’Avebury sont là pour immortaliser l’emplacement d’une structure technologique très avancée qui devait agir sur l’environnement afin de rendre la vie possible sur Mars. Des êtres intelligents ont sûrement vécu et travaillé sur cette planète, du moins temporairement.


Les deux mystérieux « points blancs » situés au centre du cratère de Cydonia Mensae
L’équivalent terrestre des deux anneaux de pierre situés au centre du cercle mégalithique d’Avebury
La théorie de Percy :
Une structure très avancée permettant la création d’un environnement favorable à la vie et au « travail » sur Mars
Photographie / Dossiers Marshall Cavendish

Un mystère de plus…

Comment se fait-il alors que, il y a 5000 ans, des hommes de la Terre aient voulu immortaliser ce qui se passait sur Mars ?

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Toutes ses preuves indiquent selon toutes vraisemblances que Mars a été habitée, il y a plusieurs milliers d’années. Des extraterrestres sont venus sur cette planète et ont enfoui à divers endroit sous sa surface d’importants stocks d’huile noire… Ceci en vue d’une colonisation future. Les nombreux vestiges de la région de Cydonia Mensae étant les seules traces qui subsistent encore de ce passage.


Laboratoire d’Exobiologie de la NASA
Fragment de roche martienne renfermant de l’huile noire
Photographie / Épisode 4X09 : Tunguska

Mais en 1907 va se produire un événement qui sera à l’origine d’une nouvelle connexion entre la Terre et Mars ! Nous savons aujourd’hui qu’il faut environ une année à un corps céleste projeté dans l’espace pour parcourir la distance séparant ces deux planètes !

 

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