Dans les coulisses : – Le camp de la section 731 était en fait un centre de recherche a Manchuko pendant la guerre où on y a fait quelques experimentations secrètes… Dans l’un de ces centres, des humains étaient utilisés comme incubateurs pour produire toutes sortes de bactéries. Les prisonniers étaient attachés tous les 50m, et on les pulvérisait par avion pour savoir comment se propageait l’infection et en combien de temps les gens mouraient, leurs symptômes, tout ça avec des petits dessins en couleur… Comme l’endroit était camouflé en usine de bois, le nom de code des prisonniers lors des transports (à sens unique…) était « maruta » ou tronc d’arbre. Le général Ishi qui dirigeait les opérations a passé un marché et personne n’a été inquiété en échange de la livraison de toutes les données recueillies. La guerre bactériologique n’apparaît pas lors des procès pour crimes contre l’humanité de l’armée japonaise. Ni le mot, ni le nom du général Ishi ne sont cités, tout a été étouffé. Il fallait tout récupérer pour éviter que les Russes ne le fassent.

– L’équipe a dû reconstituer l’intérieur lu wagon spécial où est détenu l’extraterrestre, de même que les compartiments du wagon-couchette. Le décor a ensuite été installé sur des chambres à air pour restituer l’impression d’un balancement dû au mouvement.

– Le fameux ”The Truth is Out there” a changé ici en ”Apology is Policy” (l’excuse devient une politique). Cette maxime a été inspirée à Carter par les excuses officielles formulées par le gouvernement américain à la suite d’expériences secrètes menées sur les radiations.

– La combinaison que Scully donne a Mulder pour le liberer du fourgon est #101331 (10/13 étant la date de naissance de Chris Carter).

– Le code d’entrée dans le wagon est 1111471. Ce nombre réapparaîtra plus tard, notamment en tant qu’immatriculation du Mustang B-51 abattu dans ”L’Epave, 1/2”. Ce nombre était pour la première fois apparu dans ”Contamination” (2×21) ( une partie du matricule de Mulder sur sa plaque). Sa signification…n’existe pas ! C’est en quelque sorte un clin d’oeil : une façon discrète de narguer les fans qui s’accrochent au plus infime détail…